Après avoir tenté vainement de photographier des fauvettes, ou pire des rossignols, il est agréable de découvrir un hypolaïs en haut d'un arbuste, et d'entendre son chant tonique et varié. C'est ce chant qui m'a permis de l'identifier à coup sûr en le distinguant de l'hypolaïs ictérine, très ressemblant par ailleurs.
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